Une excellente qualité
VIVAQUA a pour mission de produire de lâeau d’excellente qualitĂ©, conforme Ă toutes les lĂ©gislations rĂ©gionales et fĂ©dĂ©rales en vigueur.
Pour cela, elle se base notamment sur les prescrits de la lĂ©gislation relative Ă la qualitĂ© de lâeau destinĂ©e Ă la consommation humaine dĂ©finis par la directive europĂ©enne 98/83/CE de 1998.
Lâeau qui arrive Ă votre robinet est conforme Ă toutes les normes de potabilitĂ© imposĂ©es par les trois RĂ©gions et par lâEtat FĂ©dĂ©ral. Ces normes sont plus strictes que celles prescrites par lâUnion europĂ©enne.
En RĂ©gion de Bruxelles-Capitale, lâeau du robinet est une excellente eau de boisson.
Un contrĂŽle permanent
Pour garantir cette qualitĂ©, VIVAQUA effectue un grand nombre de contrĂŽles prĂ©ventifs. Lâeau est surveillĂ©e en permanence, Ă chaque Ă©tape de sa production, de son transport et de sa distribution.
De plus, aprĂšs la rĂ©paration ou la pose dâune conduite, nos Ă©quipes techniques veillent Ă rincer les canalisations. Pour garantir la potabilitĂ© de lâeau aprĂšs travaux, nos collaborateurs attendent le feu vert du Laboratoire avant de remettre la canalisation en service.
55 paramĂštres
L’eau distribuĂ©e doit rĂ©pondre Ă des exigences de qualitĂ© concernant plus de 55 paramĂštres (microbiologiques, chimiques, radiochimiques ou indicateurs), fixĂ©es par les lĂ©gislations rĂ©gionales.
Dâun point de vue microbiologique, lâeau fournie par VIVAQUA est traitĂ©e et contrĂŽlĂ©e de maniĂšre Ă Ă©liminer les microorganismes pathogĂšnes et empĂȘcher leur prolifĂ©ration dans le rĂ©seau de distribution. Pour ces risques particuliers, notre Laboratoire a dĂ©veloppĂ© des mĂ©thodes dâanalyse spĂ©cifiques.
Notre Laboratoire dĂ©veloppe Ă©galement des mĂ©thodes dâanalyse pour dĂ©tecter des traces de mĂ©dicaments (anti-inflammatoires, antibiotiques,âŠ) dans lâeau distribuĂ©e. Les rĂ©sultats dĂ©montrent lâabsence de risque pour le consommateur.
Vous souhaitez contrĂŽler la qualitĂ© de lâeau Ă votre domicile?
Du calcaire dans l’eau?
La duretĂ© reprĂ©sente la teneur en calcium et en magnĂ©sium dissous dans lâeau.
On dira que lâeau est douce ou dure en fonction de cette teneur, qui sâexprime en degrĂ©s français (°f ou °fH). Elle est parfois aussi exprimĂ©e en degrĂ©s allemands (°dH).
1 degré français (°f ou °fH) correspond à |
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Composition variable selon l’origine
Tout en rĂ©pondant aux normes imposĂ©es par la lĂ©gislation, la composition de l’eau distribuĂ©e en RĂ©gion de Bruxelles-Capitale peut varier selon sa provenance.
Vous voulez connaĂźtre la composition de lâeau qui arrive Ă votre robinet?
Echelle de duretĂ© de lâeau |
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de 0 à 5°fH | eau trÚs douce |
de 5 à 15°fH | eau douce |
de 15 à 25°fH | eau moyennement dure |
de 25 à 40°fH | eau dure |
> à 40°fH | eau trÚs dure |
FAQ
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Non. L’eau de pluie n’est pas potable et n’est mĂȘme pas fiable pour l’hygiĂšne corporelle rĂ©guliĂšre.
Pourquoi?
Parce que l’eau de pluie est polluĂ©e par ce qui se trouve dans l’atmosphĂšre:
- concentration importante en plomb
- concentration de gaz d’Ă©chappement des voitures qui ne sont pas bien brĂ»lĂ©s
- SO2 (dioxyde de soufre)
- vapeurs des cheminĂ©es des incinĂ©rateurs de dĂ©chets et des usines chimiques…
De plus, l’eau de pluie glisse sur les toits couverts de poussiĂšres et souillĂ©s par les oiseaux. AprĂšs quelques mois, la citerne est un vrai nid Ă microbes
Quand peut-on utiliser l’eau de pluie?
Elle peut convenir pour certains usages domestiques: nettoyer, lessiver, rincer les toilettes, arroser le jardin,…
Si vous souhaitez installer un rĂ©seau d’eau de pluie chez vous, veillez absolument Ă ce qu’il soit totalement et en permanence sĂ©parĂ© du rĂ©seau d’eau potable pour Ă©viter de contaminer ce dernier.
Contactez votre sociĂ©tĂ© d’eau pour obtenir les informations techniques. Sachez aussi que l’installation d’un systĂšme de rĂ©cupĂ©ration d’eau de pluie reste un investissement important qui, ne pourra pas toujours ĂȘtre rĂ©cupĂ©rĂ© financiĂšrement.
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Non.
Le rĂ©chauffement provoque des modifications dans la composition de l’eau. L’eau contient moins d’oxygĂšne et son goĂ»t n’est pas agrĂ©able. De plus, des nitrites nocifs peuvent s’ĂȘtre formĂ©s
Par eau chaude, on dĂ©signe l’eau provenant d’un chauffe-eau (boiler) ou du prĂ©parateur d’eau chaude combinĂ© au chauffage central. Cette eau n’a plus la qualitĂ© de l’eau potable, mĂȘme si elle est refroidie par la suite. Le rĂ©chauffement provoque certaines modifications: tout d’abord, la quantitĂ© d’oxygĂšne dans l’eau diminue et des nitrites, substances nocives pour la santĂ©, peuvent se former. Le goĂ»t est altĂ©rĂ© et, de plus, certaines bactĂ©ries profitent de la tempĂ©rature favorable pour se dĂ©velopper, surtout dans les parties du circuit dans lesquelles l’eau est tiĂšde plutĂŽt que vraiment chaude.
Ce risque est encore plus Ă©levĂ© dans les immeubles oĂč il y a un systĂšme combinĂ© pour le chauffage central (radiateurs) et la production d’eau chaude sanitaire. Les eaux de ces deux circuits peuvent entrer en contact si l’Ă©changeur de chaleur qui les sĂ©pare est dĂ©fectueux.
En outre, l’eau chaude accĂ©lĂšre la corrosion. Elle dissout plus facilement certaines substances (cuivre, fer, nickel, zinc,…) des parois des chauffe-eau et des tuyauteries et peut donc contenir des traces importantes de ces mĂ©taux.
Conseils
Prenez toujours l’eau au robinet d’eau froide pour boire, pour cuisiner et mĂȘme pour prĂ©parer des boissons chaudes. Si votre cuisine est Ă©quipĂ©e d’un robinet mĂ©langeur, assurez-vous qu’il est en position “eau froide” et n’hĂ©sitez pas Ă laisser s’Ă©couler le premier jet afin de purger le robinet
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Au contraire. Une dĂ©sinfection efficace de l’eau de distribution a permis d’Ă©carter les maladies infectieuses parfois mortelles. Cette mesure permet d’Ă©viter toute contamination bactĂ©rienne pendant le transport dans les conduites: seule une eau parfaitement sĂ»re arrive dans votre robinet. Les services d’eau ajoutent le strict minimum de chlore nĂ©cessaire pour la dĂ©sinfection. Ces doses sont sans danger pour la santĂ©. Les sociĂ©tĂ©s de distribution d’eau contrĂŽlent la teneur en chlore et vĂ©rifient l’efficacitĂ© de la dĂ©sinfection par des analyses bactĂ©riologiques.
La dĂ©sinfection de l’eau de distribution au chlore (sous forme de chlore gazeux ou d’hypochlorite) est une des principales mesures prises pour Ă©viter toute contamination bactĂ©rienne pendant le transport dans les conduites et pour s’assurer que seule de l’eau parfaitement sĂ»re est livrĂ©e au consommateur.
Les doses de chlore ajoutĂ©es sont rĂ©duites au strict nĂ©cessaire: un litre d’eau de distribution peut contenir au maximum un quart de milligramme de chlore. Ces doses trĂšs faibles sont sans danger pour la santĂ©.
Le chlore a tendance Ă disparaĂźtre en fonction de la tempĂ©rature et du temps de sĂ©jour de l’eau dans les conduites. L’Ă©vaporation du chlore au robinet de la cuisine ou de la salle de bains peut rendre son odeur perceptible, mĂȘme en trĂšs faibles quantitĂ©s.
Conseils
Avant une consommation immĂ©diate, on peut Ă©liminer le goĂ»t de chlore en ajoutant Ă l’eau quelques gouttes de jus de citron.
AprĂšs un certain temps, l’odeur et le goĂ»t de chlore s’estompent naturellement si on conserve l’eau dans des rĂ©cipients ouverts. Pour une consommation agrĂ©able, remplissez une carafe au robinet d’eau froide et placez-la au frigo pendant une nuit: le lendemain, le goĂ»t de chlore aura disparu. Il est prĂ©fĂ©rable de consommer l’eau dans les deux jours.
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Non. L’eau de distribution doit satisfaire Ă plus 55 paramĂštres de qualitĂ© et est parfaitement potable. En outre, aprĂšs un certain temps d’utilisation, ces appareils peuvent altĂ©rer la qualitĂ© de l’eau.
Les filtres Ă charbon actif sont gĂ©nĂ©ralement fixĂ©s sur le robinet ou placĂ©s dans des sortes de cruches contenant des cartouches filtrantes. Les filtres que l’on trouve dans ces cruches sont le plus souvent une combinaison de charbon actif et de rĂ©sines Ă©changeuses d’ions pour adoucir l’eau. Dans la plupart des petits filtres Ă charbon actif, on constate une importante prolifĂ©ration de bactĂ©ries aprĂšs une pĂ©riode de fonctionnement assez courte. L’eau qui en sort a donc une qualitĂ© bactĂ©riologique dĂ©gradĂ©e. Et lorsque le filtre est saturĂ© par les substances adsorbĂ©es, celles-ci peuvent, dans certains cas, ĂȘtre relĂąchĂ©es dans l’eau en concentrations beaucoup plus fortes. Le remplacement rĂ©gulier de la cartouche filtrante est donc nĂ©cessaire.
Les appareils Ă membranes (osmose inverse,…) sont le plus souvent placĂ©s sous l’Ă©vier. En plus de possibles problĂšmes de dĂ©veloppement bactĂ©rien, on constate que ces filtres Ă©liminent des substances bĂ©nĂ©fiques Ă notre corps, comme le calcium et le magnĂ©sium. Ils entraĂźnent aussi un gaspillage d’eau.
FAQ - PFAS
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Les PFAS sont fabriquĂ©es par l’industrie chimique pour leurs propriĂ©tĂ©s antiadhĂ©sives, impermĂ©abilisantes, rĂ©sistantes aux fortes chaleurs, etc. C’est la raison pour laquelle ces substances sont utilisĂ©es dans un grand nombre de produits comme les :
- emballages alimentaires
- peintures, vernis, encres, colorants
- revĂȘtements impermĂ©ables et antitaches
- pesticides & herbicides
- extincteurs Ă mousse (pas Ă CO2)
- revĂȘtements antiadhĂ©rents
- vĂȘtements waterproof
- shampooings, crĂšmes solaires, cosmĂ©tiquesâŠ
On en trouve aussi dans les aliments comme
- les Ćufs
- le lait
- la viande
- le poisson
- lâeau de distribution
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Oui. VIVAQUA publie, tous les mois, les rĂ©sultats dâanalyse: vous pouvez consulter le rapport complet concernant lâeau distribuĂ©e Ă votre domicile.
Le rĂ©sultats relatifs aux PFAS se trouvent en bas de la page 3 de ce rapport, sous la dĂ©nomination âSomme des 20 PFASâ.
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Oui. Lâeau qui arrive Ă votre robinet est conforme Ă toutes les normes de potabilitĂ© imposĂ©es par la Directive europĂ©enne sur la qualitĂ© de lâeau ainsi que par les lĂ©gislations belges qui en dĂ©coulent.
L’eau de distribution rĂ©pond Ă des exigences de qualitĂ© concernant plus de 55 paramĂštres (microbiologiques, chimiques, radiochimiques ou indicateurs), fixĂ©es par la lĂ©gislation, et le laboratoire de VIVAQUA procĂšde, trĂšs rĂ©guliĂšrement, à des contrĂŽles de qualitĂ©Â tout au long du parcours de lâeau, du captage vers le robinet du consommateur.
En ce qui concerne les PFAS, la nouvelle Directive europĂ©enne Eau Potable a Ă©tĂ© adoptĂ©e en dĂ©cembre 2020. Elle Ă©voque pour la premiĂšre fois le sujet des PFAS en indiquant quâĂ partir du 1er janvier 2026, le total cumulĂ© de 20 types de PFAS (ou perfluorĂ©s) ne pourra dĂ©passer 100 ng/L pour la potabilitĂ© de lâeau.
Rappelons que 1 nanogramme équivaut à 1 gramme divisé par 1 milliard.
DÚs fin 2021, VIVAQUA a démarré un monitoring systématique et régulier de ses sites de captages et de ses réservoirs, et notamment des 6 réservoirs qui alimentent la Région bruxelloise. Par ailleurs, et en parallÚle, VIVAQUA effectue un monitoring régulier et systématique du réseau de distribution bruxellois (dans les communes).
Depuis dĂ©but 2022, toutes les analyses dâeau dans les rĂ©seaux de la RĂ©gion de Bruxelles-Capitale, donc au robinet du consommateur bruxellois, montrent des rĂ©sultats sensiblement infĂ©rieurs Ă la future norme de 100 ng/L.
Depuis plusieurs mois dĂ©jĂ , VIVAQUA publie, tous les mois, ces rĂ©sultats dâanalyse, qui sont donc rendus publics, sur son site internet. Pour connaĂźtre les rĂ©sultats dâanalyse de lâeau Ă une adresse de fourniture prĂ©cise, il suffit de consulter la page âQualitĂ© de lâeau dans votre rueâ
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Pour en savoir plus sur la qualitĂ© de lâeau chez vous:
- rendez-vous sur le module qualitĂ© de lâeau
- sélectionnez votre commune
- tapez votre adresse
- choisissez la période pour laquelle vous voulez consulter les données
- vous obtenez un rĂ©sumĂ© de la teneur en calcium (duretĂ© de lâeau) Ă votre adresse
- cliquez ensuite sur âversion PDFâ pour consulter et tĂ©lĂ©charger le rapport complet dâanalyse
- les résultats concernant les PFAS se trouvent en bas de la page 3 de ce rapport
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L’analyse des PFAS s’effectue en utilisant des appareils de laboratoire performants. La technologie utilisĂ©e est la chromatographie liquide Ă haute performance (HPLC) couplĂ©e Ă la spectromĂ©trie de masse (MS).
Cette technique permet de sĂ©parer, identifier et quantifier les PFAS dans les Ă©chantillons. Les niveaux de concentration recherchĂ©s sont particuliĂšrement faibles. Ils nĂ©cessitent des Ă©quipements performants et une grande rigueur lors de lâanalyse, vu que ces substances Ă©galement prĂ©sentes dans les laboratoires peuvent perturber les rĂ©sultats finaux. Il nâest donc pas anormal dâobserver des rĂ©sultats diffĂ©rents entre diffĂ©rents laboratoires.
VIVAQUA a confié ces analyses à un laboratoire spécialisé situé aux Pays-Bas.
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Les PFAS sont tous composĂ©s d’une chaĂźne d’atomes de carbone sur laquelle des atomes de fluor ont Ă©tĂ© ajoutĂ©s. Or, la liaison entre un atome de carbone et de fluor est extrĂȘmement rĂ©sistante, ce qui signifie une faible dĂ©gradation naturelle et donc une grande persistance des PFAS dans l’environnement (dâoĂč leur nom âsubstances Ă©ternellesâ).
Vu leur trĂšs large utilisation par l’industrie depuis les annĂ©es 1950, les PFAS s’accumulent partout dans l’environnement, et notamment dans l’eau et dans les sols mais aussi dans le corps humain.
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Les PFAS (PerFluoro Alkyl Substances) sont des perfluorés regroupant plus de 5.000 composés chimiques.
Ils sont présents dans un grand nombre de produits comme les
- emballages alimentaires
- peintures, vernis, encres, colorants
- revĂȘtements impermĂ©ables et antitaches
- pesticides & herbicides
- extincteurs Ă mousse (pas Ă CO2)
- revĂȘtements antiadhĂ©rents
- vĂȘtements waterproof
- shampooings, crĂšmes solaires, cosmĂ©tiquesâŠ
Les PFAS sont trĂšs persistants, mobiles dans lâenvironnement et bioaccumulables.
Ainsi, ces polluants peuvent se retrouver dans les sols, dans les eaux souterraines (via les industries, les extincteurs à mousse, les eaux usées) et dans le corps humain.